A l'occasion de l'ouverture d'une antenne à Paris-Saclay, le Laboratoire organise une table ronde "S'engager pour la protection de la biodiversité", le mercredi 21 février à 18h30.
Le Laboratoire de la République lance son antenne sur le plateau de Saclay !
Venez assister à notre table ronde organisée avec des associations de jeunesse, ainsi que des intervenants faisant valoir leurs expériences et approches s'agissant de la protection de la biodiversité. Science, sensibilisation, et institutions seront autant de thèmes évoqués avec la présence de :
- Philippe Vallette : Président du Forum mondial des aquariums, membre du Conseil scientifique de la Fondation de la Mer
- Antoine Gardarin : Agronome-écologue AgroParisTech
- Virginie Atlan : Présidente de Nous Les Ambitieuses ! , fondatrice du concours « Embarquement immédiat »
En présence de Jean-Michel Blanquer, Président du Laboratoire de la République, qui introduira ces tables rondes et évoquera l’importance de cet engagement pour la transition écologique !
⚠️ Inscription obligatoire, et inscription au cocktail obligatoire, places limitées.
Quand ? Mercredi 21 février, 18h30
Où ? Université Paris-Saclay - Amphithéâtre B1.01 - 22 place de l'Agronomie, 91120 Palaiseau
Pour s'inscrire, cliquez ici
Retour sur la conférence-débat "La République indivisible face aux risques de fragmentation", modérée par Gaëlle Atlan Akerman. Autour de la table, Jean-Michel Blanquer et Benjamin Morel ont débattu et ont écouté les messages de Jean-Pierre Raffarin et de Jean-Pierre Chevènement sur le sujet.
Le 13 décembre, à l’Hôtel de l’Industrie (Paris 6e), le Laboratoire de la République a organisé une conférence-débat rassemblant un public nombreux autour de l'indivisibilité de la République.
En introduction, deux personnalités importantes ont apporté un éclairage précieux à la thématique abordée. Jean-Pierre Raffarin a délivré (via une vidéo) un message fort sur les vertus et les perspectives d’une politique volontariste de décentralisation. Jean-Pierre Chevènement a fait lire une déclaration soulignant son inquiétude relative aux propositions du Président de la République quant aux évolutions du statut de la Corse. Durant la très riche conférence/débat modérée par Gaëlle Atlan Akerman, Jean-Michel Blanquer a échangé avec le juriste spécialiste de ces sujets Benjamin Morel.
Ils ont, sur des fondements historiques, institutionnels et politiques, explicité les enjeux de l’indivisibilité de la République, garante de l'égalité des citoyens devant la loi et premier rempart face aux menaces de fragmentation plurielles. Ainsi, a été soulignée l’importance d’une décentralisation équilibrée, évitant les pièges de la différenciation et des surenchères identitaires. On retient (par nombre d’illustrations historiques et internationales) que, face aux tentations communautaristes, l’indivisibilité de la République constitue le gage de notre unité nationale.
https://youtu.be/LawsctWrJ4g
A l'Hôtel de l'Industrie, le mercredi 13 décembre, à 19h30, le Laboratoire de la République vous invite à une conférence-débat sur "la République indivisible face aux risques de fragmentation" avec Jean-Michel Blanquer, Benjamin Morel et des messages de Jean-Pierre Chevènement et Jean-Pierre Raffarin. Gaëlle Atlan-Akerman modérera les échanges.
Lors de cette conférence-débat, le Laboratoire de la République développera, en présence de plusieurs personnalités politiques, le thème de l'indivisibilité de la République. Seront notamment abordés : les enjeux de la décentralisation, les risques du concept de différenciation, les questions fondamentales posées par les évolutions envisagées du statut de la Corse, etc. En synthèse, nous nous interrogerons sur : "quel cadre républicain pour un Etat fort au service d'une société démocratique" ?
Elle sera modérée par la journaliste Gaëlle Atlan-Akerman, en présence de :
Jean-Michel Blanquer : Président du Laboratoire de la République, ancien ministre de l’Education nationale et de la jeunesse
Benjamin Morel : Maître de conférences en droit public à Assas
et des messages de :
Jean-Pierre Chevènement : Ancien ministre de l'Intérieur et de la Défense
Jean-Pierre Raffarin : Ancien Premier ministre
Quand ? Mercredi 13 décembre, 19h30
Où ? Hôtel de l'Industrie
4 place st Germain des Prés, 75006 Paris
COMPLET
"Oui aux identités locales, mais quand elles sont avec la France !" - Laboratoire de la République (lelaboratoiredelarepublique.fr)
Pour fêter son premier anniversaire, l'antenne lilloise du Laboratoire de la République organise un concours d'éloquence en partenariat avec 5 associations et un jury exceptionnel. L'évènement aura lieu le mercredi 22 novembre, à 18h, à l'Université catholique de Lille.
L’antenne lilloise du Laboratoire de la République fête son premier anniversaire !
À cette occasion, elle a voulu donner la parole aux jeunes dans un événement centré autour des défis de demain, qu’il incombe à la jeunesse de relever.
Sous la forme d’un concours d’éloquence revisité, quatre associations étudiantes s’opposeront pour défendre l’enjeu qu’elle estime le plus important, et devra convaincre un jury de qualité.
S’opposeront durant la soirée du 22 novembre :
Les Engagés - Lille, qui défendra les enjeux liés à l’engagement citoyen ;
IESEG Finance, pour les enjeux économiques actuels ;
Les jeunes IHEDN, pour les questions de défense et sécurité ;
Ecogest’, pour les enjeux écologiques.
Le jury sera composé de personnalités issues du monde politique, universitaire, académique et entrepreneurial :
Jean-Michel Blanquer : Ancien ministre de l’Éducation Nationale et Président du Laboratoire de la République (Président du jury) ;
Katy Helène Vuylsteker : Conseillère régionale et municipale Europe Écologie Les Verts;
Thierry Taboy : Directeur des enjeux droits humains pour le Groupe Orange ;
Nicolas Vaillant : Vice-recteur Recherche et Santé-Social de l’Université Catholique de Lille, Directeur de ETHICS;
Didier Peillon : Chargé de mission Partenariat Armée et Défense Zone Nord - Université catholique de Lille;
Yalcin Avcioglu : Directeur des Ressources Humaines - Caisse d’épargne Hauts-de-France
Gratuit - Inscription obligatoire
Concours suivi d'un cocktail
Quand ? Mercredi 22 novembre, à 18h
Où ? Université Catholique de Lille
Amphi Langeron - Bat. Médecine (FV)
Pour s'inscrire, cliquez ici
Jeudi 19 octobre, face au drame du Haut-Karabagh et aux menaces pesant sur l’Arménie, le Laboratoire de la République a organisé un évènement en présence de nombreuses personnalités politiques et intellectuelles ayant pour objet de décrypter les enjeux humanitaires et géopolitiques de la tragédie en cours et de fédérer le plus grand nombre autour de propositions concrètes.
Hovhannès Guévorkian, Représentant du Haut-Karabagh en France a indiqué que, suite à l’attaque éclair du 19 septembre de l’Azerbaïdjan dans le Haut-Karabagh, 105 000 Arméniens ont été déplacés de force. D’après les informations officielles, il ne resterait sur place que huit Arméniens.
Hasmik Tolmajian, Ambassadrice de la République d’Arménie, a rappelé que cette guerre s’inscrit dans l’histoire longue du génocide arménien. L’objectif de l’Azerbaïdjan et de la Turquie est de continuer à détruire ce peuple. « On assiste au rétrécissement de l’espace démocratique face à l’obscurantisme. L’Arménie formule son inquiétude car la perte du Haut-Karabagh a fragilisé nos frontières. L’Azerbaïdjan ne veut pas négocier. Si c’était le cas, 30 ans d’efforts diplomatiques auraient été économisés. » a-t-elle déclaré.
Pour Nathalie Loiseau, Députée européenne, nous avons collectivement échoué. Les mesures à prendre aujourd’hui seraient d’envoyer des armes à l’Arménie comme la ministre Catherine Colonna l’a annoncé et de renforcer la mission européenne aux frontières. « On rêve tous de sanctions contre le dictateur d’Azerbaïdjan Ilham Aliyev et sa famille, mais pour cela il faudrait obtenir l’unanimité des pays membres de l’UE, or aujourd’hui, on ne l’a pas. » a-t-elle ajouté. Sa collègue allemande au parlement européen Viola Von Cramon-Taubadel a confirmé sa conviction de la nécessité de sanctions fortes et d’initiative pour contrer le dessein de l’Azerbaïdjan.
Pour Jean-Louis Bourlanges, président de la commission des affaires étrangères à l’Assemblée nationale, l’annexion du Haut-Karabagh est sans réelle surprise. « Nous savions qu’il en serait ainsi et n’avons pas été en mesure de l’éviter. » a-t-il déclaré. « Nous n’avions pas le soutien des Etats-Unis, Israël a conclu des accords avec Bakou et n’a pas hésité à armer l’Azerbaïdjan, la Turquie a apporté des armes et des techniques militaires à l’Azerbaïdjan, c’était un piège absolu. » Désormais, les priorités sont de :
garantir la sécurité et l’indépendance des frontières de l’Arménie ;
aider militairement l’Arménie ;
apporter des garanties juridiques internationales ;
assurer la préservation du patrimoine culturel et religieux ;
s’occuper des réfugiés : « l’Union européenne s’honorerait de mettre en place un plan Marshall de réinstallation des populations réfugiées. Nous répondrions à la demande d’une population qui mérite notre solidarité. » a ajouté Jean-Louis Bourlanges.
Quant à Xavier Bertrand, Président du conseil régional des Hauts-de-France présent hier soir parmi de nombreux responsables politiques de tous bords, il a appelé le Président de la République à se rendre en Arménie et a évoqué notre devoir de tout faire pour libérer les Représentants du Haut-Karabagh, retenus prisonniers dans les prisons de Bakou, dont l’ancien Président de la République du Haut-Karabagh et l’ancien Premier ministre, coupables d’être arméniens et démocrates, ainsi que celle des quarante prisonniers de guerre illégalement détenus depuis 2020.
« Quelque chose de très grave s’est passé, cela ne veut pas dire que l’on doit accepter. Nous ne sommes pas seuls et devons nous attacher collectivement à mobiliser les opinions publiques mondiales. » a conclu Jean-Michel Blanquer, Fondateur du Laboratoire de la République.
Retrouvez la captation de l'évènement sur notre chaîne Youtube :
https://youtu.be/x0-lwKOJ3aE
Je signe l'Appel pétition de 50 intellectuels européens : « Pour l’Arménie et l’Artsakh »
La mobilisation arménienne du 19 octobre a permis le lancement de l'antenne du Laboratoire à Marseille. Des chercheurs, élus, associations et citoyens se sont réunis pour échanger sur la situation de l'Arménie après l'agression du Haut-Karabagh. En présence de Pascal Chamassian, responsable Amnésie internationale - Jeunesse Arménienne de France, Taline Papazian, docteur en science politique, enseignante à Sciences Po Aix et directrice de l'ONG Armenia Peace Initiative et la députée Anne-Laurence Petel, présidente du groupe d'amitié France-Arménie à l'Assemblée nationale.
https://youtu.be/HLwBJmlciV0
Prise de parole d'Anne-Laurence Petel, députée des Bouches-du-Rhône et présidente du groupe d'amitié France-Arménie à l'Assemblée nationale
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